jeudi 12 mars 2009

La lumière au bout du tunnel (le printemps, enfin) (réécriture)

(début de quelque chose?)
(je manque particulièrement d'assurance en poésie)


Les arbres
déploient leurs feuillages
alanguis
collants de sommeil

La lumière qui les nourrit
te tient prisonnière

Tu es chaque grain de poussière
suspendue
tu es toute la force retenue

1 commentaire:

Alexie M a dit…

Un grand classique : se plaindre qu'on n'arrive pas à écrire des poèmes, puis paf, écrire des poèmes.

Écrire des poème, ça pend beaucoup de patience, et beaucoup d'écoute.