lundi 22 juin 2009

Tu irais
t'étendre parmi les pierres

à peine plus vivante

6 commentaires:

Anonyme a dit…

...et tellement plus...vivante
car les pierres ne s'ennuient pas

Anonyme a dit…

j'ai oublié de te dire; ton texte est magnifique, rien à rajouter, rien à enlever, complet et très très riche, pourtant, que des mots simples et toute l'émotion d'un instant d'ennui

admiratif!

Pierre a dit…

Quelques mots et ça y est.
Une émotion riche et dense jaillit des profondeurs.

Tu es vraiment douée.
xoxoxoxoxoxoxoxoxoxox
Pierre

Valérie a dit…

Jean-Marc: ... admiratif... n'exagère pas! ; )

Pierre: j'apprécie beaucoup ta présence ici. Merci.

Anonyme a dit…

Non, mais!!! Admiratif, oui, je le redis, t'as qu'à assumer, à moins que tu ne veuilles justement que ça, que je te le réaffirme! :-)

Sérieux, presque rien, et tout est là.

Adèle B. a dit…

Si je ne m'abuse, tu as troqué le verbe «avoir» employé au futur pour le verbe «vouloir». Je préfère cette version à l'autre. L'usage du conditionnel rend le poème plus fluide, à mon avis.

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